Moments forts sur « l’île au trésor »
De nombreux enfants de notre orphelinat sont orphelins de père et de mère. D’autres sont issus des pires conditions et ont subi des violences et des abus. Notre foyer leur offre un sentiment de sécurité dans des structures de type familial, des soins complets, une formation scolaire et un environnement sain et sûr.
Seul Jésus peut guérir
Mais cela ne suffit pas. Les enfants ont besoin de guérison intérieure, de changement et de libération. Seul Jésus-Christ peut y parvenir. C’est pourquoi nous parlons de Lui aux enfants. De plus, nos camps annuels offrent une super opportunité de passer du temps de manière intensive avec les enfants, loin du quotidien et dans un environnement différent.
Les pirates se rendent
Avec 60 enfants, le camp « l’île au trésor » affichait complet. Chaque lit sur « l’île au trésor » a été utilisé, beaucoup l’ont même été à double ; rien d’extraordinaire pour les enfants tanzaniens. Le thème du camp a fait mouche : nous sommes comme des pirates, hors-la-loi et prisonniers du péché, et nous avons besoin de Jésus. Les « acteurs » ont fait du bon travail et les interventions ont touché les cœurs. Plus de dix enfants sont restés après la soirée du message pour un entretien personnel avec nos collaborateurs qui ont prié pour eux. Plusieurs d’entre eux ont donné leur vie à Jésus. Ce fut pour nous le point culminant de ce temps fort. Même après le camp, les effets positifs étaient encore perceptibles. Deux jeunes filles ont pris la décision de se faire baptiser.
Une zone sans perturbations
Je suis reconnaissante pour tant de choses en ce qui concerne ce moment fort. Il y a d’abord l’équipe très motivée : il était impressionnant de voir avec quel cœur nos collaborateurs s’engageaient et comment d’anciens enfants du foyer s’engageaient bénévolement et aidaient. Ensuite, le temps était tout simplement parfait et ne nous a pas dérangés, malgré une petite période de pluie. Il a certes beaucoup plu dans les environs, mais les intempéries nous ont épargnés. Last but not least : nous n’avons pas eu une seule panne de courant. Et ce, même si avant et après le camp, l’électricité allait et venait à sa guise. Dieu est bon !
Grâce au travail de notre foyer pour enfants à Morogoro, 200 enfants ont déjà reçu une nouvelle perspective pour leur avenir.
